Ancien pilier de Rockers Hi Fi, Glyn “Bigga” Bush poursuit son chemin en solitaire. Avec More Reliqs, il revisite ses créations comme on rouvre un carnet de voyages. Résultat : une patine dub électrique, afro‑beat et trip-hop vaporeux
Detroit, 1988. Une porte sans enseigne, un bar sans alcool, un son futuriste. En 18 mois, le Music Institute a forgé un langage qui allait, dès la chute du Mur, résonner dans les caves berlinoises
Detroit, années 80 : la ville s’effondre, ses usines ferment, ses rues se vident. Dans les clubs queer, une pulsation clandestine éclate, brutale et futuriste. Ces nuits interdites sont des refuges, des armes et des espaces de liberté pour des communautés noires et LGBTQ+, trop souvent effacées du récit de la Techno de Detroit
Quand un artiste réconcilie club et introspection : figure discrète de l’underground italien, Nicola Penna — alias NBI, mais aussi Future Jazz Ensemble ou Nico Disco — signe Alphawaves, un EP qui déjoue les tempos figés et ramène la house à son souffle humain
En 2012, Seeds marquait un tournant dans la carrière de Georgia Anne Muldrow. Pour la première fois, la productrice visionnaire confiait les manettes à un autre architecte sonore : Madlib. Treize ans plus tard, les instrumentaux originaux sortent enfin de l’ombre, pressés en vinyle transparent, dans une édition exclusive disponible chez Fat Beats
Dans un nouvel épisode du Sonic Groove Podcast, Adam X rencontre « Mad Mike » Banks, figure centrale de la techno de Detroit et fondateur d’Underground Resistance. Une plongée dans les racines du mouvement, son lien avec Drexciya et la vision d’un futur qui reste profondément underground
TL;DR est un nouveau quartet né de l’esprit créatif de Peter Knight, trompettiste, compositeur et ancien directeur artistique de l’Australian Art Orchestra. Avec Helen Svoboda, Theo Carbo et Quinn Knight, il façonne des paysages sonores hypnotiques, minimalistes et groove-based, où se croisent influences de Brian Eno, John Hassell, The Necks, et la musique électronique contemporaine
Dans son modeste home studio de South London, Reginald Omas Mamode IV joue chaque note, chaque frappe, chaque souffle de son nouvel album Rivière Noire. Entre les murs tapissés de vinyles et une lampe qui grésille doucement, il convoque l’héritage mauricien de son père, la rue londonienne et la soul d’une époque révolue pour écrire
